Aller au contenu

En général, les États-Unis proposent de nouvelles modes plus ou moins incongrues, et les Européens se mettent au pas dans un délai plus ou moins long. C’est le schéma inhérent à un système héritier de l’américanisation du monde que nous connaissons depuis quelques temps. Parmi ces tendances, il y a des idées parfaitement innovantes et des idées merveilleuses (on compte par exemple Microsoft ou Facebook, pour citer quelques firmes pour le moins célèbres), et des concepts plus marginaux et questionnables. Récemment, une boisson nouvelle est arrivée en trombes sur le marché états-unien : la hard-seltzer. Nous avons parié sur ce format inédit, qui connaît un succès fou outre-Atlantique, c’est ainsi qu’est né la Seltz On The Beach de la Brasserie Carteron. 

La recette est simple : de l’eau gazéifiée, aromatisée et alcoolisée. Par son aspect translucide, la boisson suscite un premier regard sceptique, mais elle s’avère agréablement surprenante. Une formule fruitée, désaltérante, aux notes estivales d’apéritifs en extérieur et de barbecue entre amis. Même si le marché européen n’est pas encore familier avec le concept d’hard seltzer, plusieurs grandes marques font le choix de se lancer dans l’aventure à l’instar de Coca-Cola, et nous avons décidé de faire de même. Notre Seltz On The Beach prend le parti d’être une boisson complètement sans gluten, vegan et biologique, déclinée sous trois recettes ; la Veggie se base sur la complémentarité du concombre et du kiwi, la Gourmande opte pour la cerise et la fraise tandis que la Tropique rappelle la piña colada avec ses notes d’ananas et de noix de coco.

Si vous donnez sa chance à ce produit, vous serez nécessairement satisfait, et deviendrez probablement amateur ! Peu alcoolisée (4,5 degrés d’alcool) et sucrée, cette boisson est l’alliée idéale de toutes les circonstances, tout en restant peu calorique, avec seulement 27 kilocalories pour 100 ml. En somme, une formule gagnante qui mérite sa place dans tous les réfrigérateurs ; une chose est sûre, c’est que d’ici quelques temps ce sera chose faite en Europe.

Margaux Audinet